"La biologie totale fait scandale"

Publié le par Baudouin Labrique

Fin de l'année 2007, deux articles virulents étaient déjà parus dans la presse française (Science et Avenir : http://www.retrouversonnord.be/BTOuiMais.htm#gourous ; NouvelObs), à l'encontre de l'initiateur de la "Biologie-Totale", le Dr Claude Sabbah, suite à sa prestation dans une salle jouxtant la Sorbonne à Paris ; les médias, dans leur indécrottable penchant à tout diaboliser, ont été jusqu'à le taxer comme gourou ou, encore, de "maitre de la Biologie-Totale", comme TF1 a osé le faire de la bouche de son présentateur vedette (vidéo qui en atteste : http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,3549182,00-biologie-totale-... ).


En Belgique, deux articles paraissent le même jour (22 avril 2008) pour vilipender aussi la "Biologie-Totale" ; on peut, en effet, lire dans "Le Soir" : "La « Biologie totale », qui prétend tout guérir en chassant le stress, fait scandale. Des thérapeutes controversés attirent les foules. Des victimes témoignent. La justice est saisie." Dans "le Vif l'express", sous le titre "La biologie totale fait scandale", on peut lire "Les associations de lutte contre les dérives sectaires, et notamment l'Association de victimes de pratiques illégales de la médecine (AVPIM), s'inquiètent des activités d'adeptes de la biologie totale".


Comme par hasard, cela  paraît peu de temps après la diffusion en Belgique du film "Seul contre tous" consacré au Dr Hamer, du célèbre écrivain Jean-Jacques Crèvecoeur et peu de temps avant le début d'un procès à Liège contre un thérapeute se réclamant de la Biologie-Totale…
Il faut d'abord stigmatiser cette détestable tarte à la crème dont se sert abusivement et partialement la presse : celle d'accuser tout ce qui ne rentre pas dans la pensée unique lobbyisée, du concept très à la mode et boostent les rotatives que sont les mots "secte" et, pour ceux qui en sont les promoteurs, de "gourous" ; au moyen-âge, c'est le mot "diable" qui aurait été utilisé, mais vu que plus grand monde n'y croit actuellement, il a été avantageusement remplacé !
Oublions la manière manifestement outrancière, certes endémique, avec laquelle la presse diabolise trop fréquemment tout ce qui n'est pas conventionnel, trop servile à défendre d'obscurs intérêts. Puisqu'il n'y aurait "pas de fumée sans feu", posons dès lors l'une des questions cruciales, …


Comment donc expliquer une telle levée de boucliers et d'aussi graves accusations ?

Pour en parler, fort des cours suivis à Paris en "Biologie-Totale" (BT dans le texte), de la part de deux des élèves du Dr Claude Sabbah (CS dans le texte), au milieu des années 90, cette position privilégiée est renforcée par le fait de mes qualités de psychothérapeute, conférencier, animateur de stages : ils m'ont rendu témoin direct et indirect des dérives inacceptables dénoncées ci-après. Cela m'a déjà fourni la matière à un long article intitulé "Biologie-Totale, oui mais ?!" et qui en détaille l'énoncé de ce qui se trouve ici ; la première édition (imprimée) date de janvier 2003 et la dernière, régulièrement actualisée, se trouve en ligne ici : http://www.retrouversonnord.be/BTOuiMais.htm .


Premier point problématique : les bases scientifiques de la BT.

Que ce soit dans le domaine médical ou scientifique, la défense et la diffusion d'une simple découverte, laquelle apparaîtrait même comme une avancée innovante, doivent toujours s'appuyer sur de solides références et des bases scientifiques reconnues, ce qui n'a pas du tout été le cas pour la B.T. Voilà le premier écueil qui explique une telle (légitime) mise au banc du monde scientifique conventionnel de cette approche innovante ; un défaut manifeste qu'on retrouve aussi dans la présentation et la diffusion de l'approche du Dr Hamer ("Germanique Médecine Nouvelle" ou GMN), dont est d'ailleurs issue très largement celle de la BT.


La publication d'articles dans des revues scientifiques ad hoc constitue le passage obligé pour qu'une découverte, quelle qu'elle soit, puisse se voir un jour reconnue et répercutée le plus positivement possible dans les médias. En l'absence d'une telle reconnaissance, qu'on le veuille ou pas, une prétendue avancée, fût-elle révolutionnaire, sera taxée, au mieux de magique, au pire de charlatanesque. A ce point de vue, tant la "Germanique Nouvelle Médecine" du Dr Hamer que la BT de CS brillent par un vide presque complet, même si de nombreux scientifiques, voire des Universités, ont pu effectivement valider de telles approches ; comment s'étonner donc a priori du triste sort qui leur a été réservé dans le monde scientifique et par médias interposés, dans le grand public ! Pire, comment se fait-il que de tels brillants scientifiques n'ont pas investigués plus en avant pour écrire ou susciter des publications dans des revues scientifiques reconnues ? Une fondation américaine ("Heal Breast Cancer Foundation") ne s'y est pas trompée : reprenant à son compte de telles avancées, elle a eu l'intelligence de procéder d'une manière appropriée à la remise en oeuvre patiente et prudente de telles recherches, mais, d'une manière compréhensible, elle s'est abstenue de faire référence à de telles approches non conventionnelles, sous peine de perte totale de crédibilité ( http://www.retrouversonnord.be/hamer.htm#Tout ).


A l'inverse donc du savoir-faire approprié de la fondation américaine dont il est fait état ci-avant, ces approches auraient dû ouvertement et humblement s'appuyer sur des bases scientifiques, ce qui aurait été de nature à éviter leur mise à l'écart du monde scientifique en place. Elles pouvaient le faire, par exemple et, pour ne parler que d'elle, sur ce qu'a apporté directement et incontestablement la Physique Quantique : il y a déjà belle lurette, celle-ci a démontré la prédominance du psychisme sur la matière mais en l'articulant (heureusement et patiemment) sur l'héritage du passé.
Trop pressés (égos surdimensionnés ?) à vouloir les propager dans le public, possédant pourtant, de par leurs diplômes scientifiques de solides bases en physique, Hamer comme CS n'ont pas daigné asseoir leurs découvertes sur leurs (seules) connaissances académiques ! Quelle mouche les a donc piqués ? On ne construit en effet rien de solide sur du neuf. De plus, ils n'étaient pourtant pas sans connaître cette filière obligée que doit prendre toute avancée scientifique (médicale) pour lui permettre d'être reconnue par ses pairs. Ayant rencontré dernièrement et personnellement CS, à sa demande, et en présence d'un groupe de convaincus habilités aussi à s'exprimer sur la "question", je l'ai interrogé sur ce point crucial : le silence (embarrassé mais pour moi confondant) en a été la seule réponse ! (Cf.  http://www.retrouversonnord.be/BTOuiMais.htm#rencontre ).


De plus, en ce qui concerne la manière dont s'y est pris CS pour la diffusion de la B.T., il n'a manifestement pas tiré les leçons essentielles de l'échec scientifique et médiatique de la "Germanique Nouvelle Médecine" du Dr Hamer : comment se fait-il qu'il ait pu croire un instant qu'il allait réussir là où le Dr Hamer avait échoué, vu une majorité d'écueils similaires ?


Second point problématique : l'enseignement de la BT.

Voici un aperçu des principaux points litigieux qui ont évidemment généré des dérives manifestes de la part de ces personnes qui, trop souvent, se sont contentées de suivre un cycle de "séminaires" en BT ; ils s'installent alors comme "thérapeutes en décodage biologique", suivant la première appellation (pas assez contrôlée) contrôlée. Nantis du seul savoir livresque, acquis sous la seule forme bien insuffisante de la diffusion de "séminaire" (mot abusif car l'enseignement de CS se fait pratiquement exclusivement sous forme de conférences), sans aucun mode d'emploi ni déontologie satisfaisante, sans ce savoir-faire incontournable, vous étonnerez-vous alors qu'ils se rendent coupables de s'adonner à de la thérapie sauvage ! Les tenants de la B.T. que j'ai interrogés arguent alors du fait qu'il est profitable à tous que la B.T. soit largement diffusée et que pour eux, les "séminaires" en sont le moyen privilégié ! Souscrire à cela équivaudrait à (machiavéliquement) ce que mes moyens justifient la fin ! Il y a quelque temps, sans doute incité par la montée des critiques de plus en plus virulentes, CS crée une nouvelle appellation certes mieux "contrôlée" selon ce qu'on prétend dans le cénacle de la B.T. : "conseiller en déprogrammation biologique", mais toujours rien de consistant sur le savoir-faire, lequel nécessite de sérieuses et relativement longues formations adaptées en relation d'aide et en psychothérapie. Ce ne sont pas la diffusion sur Internet d'un code de déontologie propre à la B.T. (fort incomplet d'ailleurs) qui pourra, à lui seul, dédouaner leurs promoteurs des carences réelles, criantes et iatrogéniques des formations qu'ils diffusent.


Tout comme sur ces derniers points, pour lequel je n'ai reçu aucun avis de CS dans l'entretien dont j'ai fait écho plus haut, aucune réponse n'est non plus donnée par rapport à ce qui suit : un accompagnement par rapport à la santé et touchant à ce point la sphère psychologique (mise en lien du psychisme avec le corps) nécessite, de la part de celui qui le dispense, une distance suffisante de nature empathique entre lui et le soigné. Il est reconnu qu'une telle qualité de soins (neutre et authentiquement agissante) ne peut se donner que si le soignant a pu préalablement bien mettre au clair et résoudre ses propres conflits et notamment les traces souffrantes que ses incarnation et enfance ont pu laisser actives. Branche des neurosciences qui s'occupe des incontestables liens psychisme-corps, la psychobiologie moderne, bien en phase avec les découvertes de la Physique Quantique, nécessite dans son application thérapeutique un savoir-faire de nature authentiquement psychothérapeutique ; cela la BT a été incapable jusqu'à présent (dommageablement) d'insuffler comme critère incontournable comme de conditionner son utilisation à un travail préalable sur soi en profondeur et indissociable de la poursuite fructueuse de formations pratiques en psychothérapie.


Il y a aussi dans la manière de procéder de CS des pratiques inadmissibles parce que contre l'éthique et la déontologie les plus basiques, et pour ne citer qu'elle, la réalisation de vraies séances de thérapie devant un public (qui dépasse souvent la centaine de gens !), analogues à des démonstrations de foire ! Qu'advient-il (par exemple) alors de personnes qui auront ainsi livré en public des pans entiers de leur vie privée et, lâchées ensuite "dans la nature" ? Comment pourront-elles alors ensuite poursuivre le nécessaire accompagnement psychologique auquel le seul savoir en BT ne prédispose manifestement pas ? Comment garantir l'incontournable confidentialité de ce qui s'est dit dans de telles conditions ?  Postérieurement, quelles seront leurs réactions quant elles se rendront compte qu'elles ont alors livré en public leur intimité ?  "(...) j'estime que d'un point de vue moral, éthique et déontologique, il convient en première priorité de ne pas nuire" prétend pourtant Claude Sabbah ( http://www.biologie-totale.org/pages/c-presse-biologie-to... ).  Primum nil nocere, avez-vous dit CS ?!
 

Troisième point problématique : la pratique de la BT.

Dans la pratique thérapeutique donc étriquée sur laquelle elle débouche, l'enseignement de la B.T. conduit  à se contenter (dans le meilleur des cas) de régler, allopathiquement et d'une manière comportementaliste, un conflit mis à jour et sur lequel est censé reposer toute la problématique souffrante la situation conflictuelle ayant généré la somatisation, sans aller plus loin et d'exposer le patient, tôt ou tard à la faveur d'un événement déclencheur de somatiser de nouveau. Le psychothérapeute Christian Flèche dénonce une telle manière de faire, exemples à l'appui, et qu'il qualifie très justement d' "allopathie psycho-comportementale" et, de plus, de la part de certains de ceux qui s'y adonnent, de la psychorigidité ( http://www.retrouversonnord.be/Hamer.htm#Christian ).


J'ai été confronté à plusieurs cas de ce genre et les patients qui en sont les victimes ont souvent l'impression que le décodage psychobiologique ne marche pas avec eux ; pire, plongés dans une détresse plus grande encore qu'avant d'avoir été consulté le thérapeute en BT, certains sont persuadés qu'ils ont été incapables de se guérir, alors qu'il aurait fallu mettre en cause la défaillance manifeste et iatrogène du thérapeute. En prime, de solides résistances à la guérison dont il faudra essayer de libérer de tels patients éconduits. A l'inverse, une pratique psychothérapie authentique et appropriée n'expose pas le patient à un tel échec dans ce qu'elle permet de l'aider efficacement à régler les causes profondes de ses maux et qui sont la plupart du temps logées dans la période conception-grossesse-naissance.
Etant donné les écueils dénoncés, la voie ouverte du "ils ne savent pas ce qu'ils font" est celle qui est à largement déplorer ; les exemples concrets sont légion. C'est tout un catalogue de comportements iatrogènes générant des dérives manifestes, qui sont alors à stigmatiser et dont voici les plus criants :

- Le décodage sauvage ou le catalogue des ressentis prêt-à-porter alors que c'est au patient à donner le sens de sa maladie au travers des ressentis librement exprimés.

- L'absence de mise en action d''outils permettant au patient de finaliser son processus de guérison et qui se voit donc planté là, à mi-chemin : il sait et il "doit lâcher le conflit" ce qui lui permettra de "basculer dans la guérison" !

- La recherche les résonnances transgénérationnelles mise en priorité, alors le bon sens devrait conduire à aller aider le patient à résoudre prioritairement ce qui se trouve actif dans sa propre vie.

- L'absence d'un accompagnement approprié qui occasionne un risque certain pour les patients de passer trop vite dans la phase de guérison et en subir des effets somatiques parfois dramatiques.

- L'intégration de cette approche dans la pratique officielle ; c'est de fait de médecins et d'autres praticiens liés à des codes de déontologiques (pourtant) contraignants : ils se mettent alors hors la Loi, dans ce que la BT n'est pas reconnue par la science médicale conventionnelle ; dangereux apprentis-sorciers, ils s'improvisent en plus psychothérapeutes, ce que leur formation ne prédestine en aucun cas ; de ce fait, ils s'adonnent à des comportements trop souvent iatrogènes ! De plus, ils font alors une concurrence déloyale aux psychothérapeutes attitrés, vu les remboursements consécutifs (abusivement sous le couvert de leur qualité de prestataires conventionnés de soins de santé) et leur non-assujettissement à la TVA, c'est de la fraude fiscale caractérisée et c'est assimilable à du détournement de deniers publics !
( http://www.retrouversonnord.be/BTouimais.htm#flagrante )

- La présentation par leurs praticiens de la B.T comme d'une méthode thérapeutique en soi, complète est bien évidemment erratique ; en témoignent à suffisance les origines d'une partie des dérives dont cette approche ainsi pratiquée s'est alors rendue coupable.


En prime, mais d'une manière tout à fait prévisible, on assiste dans le public à une forte méfiance, amplifiée par le prisme certes déformant et tendancieux des médias, par rapport à toutes les approches visant à mettre en jeu les liens psychisme-corps, pourtant mises au jour par l'incontestée Physique Quantique. C'est alors un tort considérable, certes indirect, que la B.T. fait à la santé publique, du fait que les nombreuses et diverses dérives qu'elle génère et qui créent une suspicion élevés sur les psychothérapies intégrant les rapports psychisme-corps et dignes de ce nom.
Vu de telles errances dans le chef de trop nombreux de ses praticiens, la B.T. ne saurait se poser en pure victime (tout comme le Dr Hamer cf.  http://www.retrouversonnord.be/hamer.htm ). Cette suspicion fondée est alors d'autant plus forte que les médias, dans leur presque totalité, diabolisent la BT, au vu des multiples témoignages relevés, particulièrement quant ils sont croustillants, mais où, certes, le vrai côtoie allègrement et regrettablement le faux ! A cet égard, où se trouve donc le journalisme d'investigation qui aurait  pu / devrait retirer l'ivraie du bon grain ? Où est le noble devoir d'information objective ?!
 

Conclusion : LA BIOLOGIE-TOTALE EST DONC EN TRAIN DE SE COUVRIR D'UNE REGRETTABLE REPUTATION QUI S'APPARENTE A MON GRAND REGRET A  CE QUI EST REPROCHE AUX SECTES !

En cause donc, des manières de faire de la thérapie de la part de certains et nouvellement "conseillers en déprogrammation biologique" (selon la dernière appellation en vogue dans les formations en BT) et qui pourraient donc être assimilées à de la déstabilisation mentale, de l’emprise mentale, des atteintes aux personnes en état de faiblesse et d'ignorance, de l'endoctrinement ...et qui comptent parmi les critères retenus pour désigner des dérives de nature sectaire. La porte est alors ouverte à tous les amalgames : certains sur le Net et dans les médias vont jusqu'à taxer la BT de secte, ce que je ne soutiens pas au regard de la situation actuelle.

A MEDITER :

- " Même si je m’intéresse à cette méthode [du Dr Hamer et ce qui est transposable à la BT], même si je m’inspire de ses théories pour soigner les malades, même si je le connais bien, je ne voudrais pas que mon nom soit associé au sien, nous dit un médecin de Lille. Il est trop contesté et beaucoup de gens s’en revendiquent qui font tout et n’importe quoi." ( http://www.medecines-douces.com/impatient/270sep00/hamer....  ).

- "(...) si nous ne voulons pas discréditer cette formidable avancée dans la compréhension et le traitement des maladies, si nous ne voulons pas donner tous les bons arguments à ceux qui cherchent à arrêter ce mouvement, de grâce, ne faisons plus n’importe quoi avec n’importe qui, dans n’importe quelle condition", écrit Jean-Jacques CREVECOEUR à propos de la BT. ( http://www.retrouversonnord.be/sentiersguerison.htm ).

- Parmi les témoignages reçus : "J'ai fait tout le cursus (ou presque) avec Sabbah...mais c'est clair qu'il manque des éléments importants..." /  "(…) le monde à l'envers ou quand le patient rassure le thérapeute dans son savoir / pouvoir." /  "(…) "dès le début du séminaire que j'ai ressenti un certain malaise mêlé à une fascination pour des concepts très intéressants mais dont l'enseignement gagnerait à être repensé." ( http://www.retrouversonnord.be/BTOuiMais.htm#Reçu  )

- "L'univers est un tout dont nous faisons partie, toute agression de quelque nature que ce soit contre l'un de ses composants se retourne inévitablement contre l'auteur. En biologie cela s'appelle le feed-back ou choc en retour." Pr Jacqueline BOUSQUET.

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Publié dans SANTE

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B
Réponse correctement mise à la bonen place (avec mes excuses) :<br /> <br /> Les cancers ne se développent qu’en présence d’un programma psychobiologie actif (voir http://www.psychbiologie.eu ).<br /> <br /> En CHINE, le cancer du sein (celui qui fait de la masse) est appelé "la maladie de la femme riche" ou "maladie de HONG KONG", car seules les chinoises qui ont adopté le mode d'alimentation occidentale et en particulier le lait, en seraient atteintes La cause serait en effet la présence d'hormones IGF 1 et IGF 2, dans le lait, avec un tropisme sur des récepteurs mammaires.<br /> <br /> Il est aussi reconnu que les générations suivantes de ces chinoises qui viennent vivre en occident, finissent aussi par développer de tels cancers du sein, vu le changement de terrain dû à l'alimentation ; mais il faut aussi souligner que le cancer du sein ne survient que suite à une situation conflictuelle non résolue. Chez les Chinoises vivant dans leur pays et qui ne consomment pas de produits laitiers, elles ne développeront alors que des nodules qui ne seront pas nécessairement perceptibles. <br /> <br /> A contrario, mais uniquement dans des conditions de situations conflictuelles similaires, c'est donc chez des femmes qui consomment des produits laitiers que se trouveront celles qui développeront des cancers du sein.<br /> <br /> Sources : « Ce lait qui menace les femmes » du Dr Raphaël Nogier (Ed. du Rocher) et celui de Thierry Souccar en phase avec lui ) « Lait, Mensonges et Propagande » (Thierry Souccar éditions) ; Thierry Souccar donne aussi d’autres enseignements par rapport aux effets pervers des produits laitiers (en savoir plus : http://www.retrouversonnord.be/Sante_le_Figaro.htm#sein )<br /> <br /> On a pu l’observer en ce qui concerne le cancer de la prostate.<br /> <br /> Je doute fort qu’il suffise de croire qu’en buvant du lait c’est comme si on buvait de l’eau pour pouvoir à coup sûr désactiver les pouvoirs relatifs au développement cellulaire du lait sur notamment le cancer de la prostate, mais je ne demande qu’à « voir », car le programme psychobiologique particulier qui génère un tel cancer est sine qua non.<br /> <br /> En revanche, refusant le diagnostic mortifère d’un professeur d’université qui m’annonçait une décalcification osseuse jugée irréversible doublé d’une perte osseuse de la mâchoire jugée tout aussi fatale, j’ai pu recouvrer une densité osseuse normal et refaire du nouvel os dans la mâchoire : dans de tels cas, la détermination personnelle a pu agir et pas seulement sur l’aspect physique des choses mais bien évidemment en solutionnant le programme psychobiologique sous-jacent : cf. http://www.retrouversonnord.be/blabriquecalcification.htm
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B
Erreur de manipulation qui a fait supprimer la question suivante : est-ce que boire du lait en croyant que c'est de l'eau peut éviter d'avoir un cancer de la prostate.<br /> <br /> Réponse :<br /> <br /> Commentaire complémentaire par rapport à ce qui est dit dans cet article "L’allergie est un paradoxe" paru sur ce site et qui affirme ce qui suit : "Le paradoxe de l’allergie c’est qu’elle est déclenchée par des molécules totalement inoffensives. La plupart du temps il s’agit de protéines, ou alors de toutes petites molécules qui sont obligées de se combiner avec des protéines de la peau, comme pour l’eczéma de contact." (http://sante.nouvelobs.com/site/Interview.asp?ID=42&Rub=Longévité ). On ne peut donc en conclure, que l'allergie n'est un paradoxe que pour ceux qui s'obstinent toujours à ne considérer les seules origines des maux que dans la stricte matière alors que les découvertes (incontestées) de la Physique Quantique ont pu montrer à suffisance que c'est le psychisme qui est le maître du jeu sur la matière (cf. http://www.retrouversonnord.be/Psychobiologie.htm#BOUSQUET ). En effet, si, comme démontré dans le texte en référence, on remet le rôle du psychisme à sa juste place, ce que des siècles de matérialisme et de rationalisme ont contribué à dénier, il n'y a donc plus aucun paradoxe ! En revanche, persister dans un tel déni confine tout doucement à s'adonner à un pur révisionnisme !
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